C’est bien Jésus ressuscité que le Père de l’univers a envoyé en 1974 à Arès 40 fois pour dicter la première partie d’un Message historique à l’homme Michel Potay, complété ensuite par 5 théophanies directes en 1977. Cet évènement surnaturel est passé pratiquement inaperçu un demi-siècle après, or ce Message se situe dans la droite ligne du Coran, de l’Evangile et de la Tora.
Est-ce bien ce retour de Jésus annoncé dans l’Evangile et dans le Coran et attendu par les croyants qui l’espèrent ou le craignent ?

Jésus enseignait il y a 2000 ans dans un monde juif dont les prophètes comme Isaïe annoncérent un Jour de la Résurrection. En 1974, Jésus affirme que ses témoins de l’époque ont mal transmis son Message tel que nous pouvons le lire dans la Bible chrétienne où on trouve l’annonce prophétique de plusieurs événements : la destruction du temple de Jérusalem (qui aura lieu au premier siècle), son retour (attendu en vain du vivant de certains de ses témoins), et la Résurrection des morts. Ces trois annonces ont été confondues.
Dans Matthieu 24/8, Jésus précise que le Jour de la fin interviendra dans les tribulations et les douleurs de l’enfantement, que seul le Père en connaît le Jour et l’Heure (24/36), mais que lui-même reviendrait comme un voleur (24/43) à une heure ou personne ne l’attendra. Cette annonce se retrouve dans les deux autres Évangiles synoptiques, Marc et Luc.

On retrouve dans le Coran l’annonce de l’Heure et l’interprétation traditionnelle est qu’elle correspond aux affres du Jour de la Résurrection. Or le Coran précise que l’heure surviendra en un clin d’œil (Les abeilles 16/77), furtivement sans que l’on s’en rende compte (L’ornement 43/66).
Le Message révélé à Arès en 1974 annonce pour un temps futur le Jour de la Résurrection : les prophètes attendent encore ce Jour qui interviendra quand Dieu viendra visiter ses Granges et que l’univers criera sa liesse (31/9).
« Moi seul suis hors du temps » nous dit le Message de 1974, et celui de 1977 ajoute : « De Jésus à Mouhamad mille ans petits, de Mouhamad à toi mille ans grands » (IV/2). La Bible comme le Coran en 32/5, déclarent : « Un Jour pour Dieu est comme mille ans pour l’homme », mais le Coran dit aussi en 70/5 : « Les anges et l’Esprit montent vers Dieu en un Jour ont la durée est de 50 000 ans », probablement en référence à l’histoire de l’humanité depuis les Adams au Jour d’Eden.

D’après la théorie du Zabour, la succession des Jours évoque celle des soleils prophétiques et l’Heure pile le début d’un nouveau Jour prophétique. Le Message de 1977 déclare en XX/18 : « Le frère de Mouhamad la sexte a la fin », confirmant que le retour de Jésus en 1974 est l’annonce d’un nouveau Jour prophétique, le septième.

L’Ecriture lue correctement et la réalité des événements surnaturels d’Arès récusent ainsi les interprétations millénaristes de beaucoup d’idéologues religieux, comme ceux qui ont fondé les témoins de Jéhovah, qui envisagent l’arrivée imminente d’une fin apocalyptique de l’univers imaginée à partir de livres d’homme d’auteur(s) incertain(s) comme l’apocalypse selon Jean.

Il y a bien confusion entre l’heure du retour de Jésus, intervenue en 1974 et l’annonce du Jour de la Résurrection dans un avenir lointain. Ce Jour arrivera en fonction du lent travail de pénitence et de mission que l’humanité aura accompli au fil des générations. Ce ne sera pas la décision arbitraire d’un Juge, d’une sorte de Jupiter impulsif brandissant ses foudres et punissant les mauvais et récompensant les bons. Ce n’est pas l’attente passive et craintive que le Créateur attend de nous, mais l’action déterminée et collective de bonification du monde qui permettra le retour à l’équilibre qui prévalait au début de la Création des Adams et des Eves, l’harmonie entre eux et leur Créateur.

Commentaires :

Commentaire 1 du 11 janvier 2021 :

Qu’entendez-vous par la théorie du Zabour ? Le Zabour correspond-il aux psaumes du roi David ?

Oum Yasmine

Réponse du petit Antoine :
Merci à notre soeur Oum Yasmine pour cette question qui a demandé un peu de recherche pour une réponse précise, donc désolé pour ce retard dans la publication du commentaire.
Je reprends dans l’analyse qui suit les conclusions et la méthode du travail du juste frère mentionné dans ma réponse sur le post 1.

Le terme Zabour a été relié aux écrits du Roi David, mais il y a des incertitudes concernant sa qualité de prophète. Le Coran ne lui
reconnaît pas de révélation directe mais il dit, à deux reprises « et nous apportâmes à Daoud un Zabour » dans les femmes 4/163 et le voyage nocturne 17/55. Les exégètes ont prétendu qu’il s’agissait là d’une affirmation de sa prophétie. Or le prophète du roi David, c’était Nathan que Dieu l’envoie réprimander pour le crime de Urie le hittite et l’adultère qui le motive, la convoitise de sa superbe épouse qui lui donnera plus tard le roi Salomon.

Un éventuel cumul entre l’autorité temporelle et l’autorité spirituelle qui aurait été le cas pour le roi David nous a toujours paru étrange car le prophète a préséance sur le roi : c’est le prophète Samuel qui a oint le roi Saul puis le roi David, et Dieu exprime clairement dans la Bible (1 Samuel 8) sa réprobation de la demande du peuple d’Israël d’avoir un roi, mais Il respecte leur liberté.
Notons que le Livre de David est connu sous le nom de psaumes. Pourquoi le Coran a-t-il donné un nom différent aux Psaumes qui sont classiquement appelés Mazamirs en arabe ? Le Coran est toujours très précis !
Relevons également ce hadith du prophète Muhammad :  » Le Coran a été simplifié pour Daoud. Il ordonnait de seller ses bêtes, et lisait le Coran avant que ses bêtes ne soient sellées. Et ne se nourrissait que de son travail personnel ». Or le Roi David/Daoud a vécu 1600 ans avant le Coran, il ne peut avoir connu le Coran.

Le Coran utilise « un » (article indéfini) Zabour et « le » (article défini) Zabour. Et nous apportâmes à Daoud un Zabour (Les femmes 4/163) ); un Zabour et non Le Zabour ! Donc des morceaux d’un livre, ce qui a fait penser aux Psaumes. Dieu n’a pas spécifié qu’Il a apporté à David Le Zabour (Livre bien défini) évoqué dans (Et nous avons certes écrit dans Le Zabour après Le Rappel (Les
prophètes 21/105) ). S’agirait donc d’un David/Daoud faisant un travail personnel postérieur à la Révélation du Coran ? Or coïncidence ou non, le juste frère porte officiellement ce prénom ! Or Ce Zabour-là viendra après tous les Rappels descendus (Par le Coran, au Rappel ( Sad 38/1 )) & (Ceci n’est qu’un rappel et un Coran explicite ( Ya sin 36/69 )).

Dans les conclusions de son travail, le juste frère dit :  » Le Zabour se trouve dans le Coran, c’est sa quintessence, la théorie du Zabour apporte de nouvelles significations aux versets du Coran. Elle n’exclut pas la possibilité aux versets d’avoir plus d’une signification, évidente ou intrinsèque. » Le juste frère a entamé son travail de relecture du Coran alors qu’il avait décidé de traduire en arabe le Message dicté à Arès qu’il considère comme une source de vérités sur laquelle il se base pour interpréter le Coran.
Or en 7/53, le Coran parle du_ jour où viendra l’interprétation_. Donc le prophète Muhammad était chargé de transmettre le Coran, pas d’en donner l’interprétation précise et complète même s’il a souvent donné à ses compagnons des hadiths très inspirés.

Ainsi, ma soeur Oum Yasmine, le lien traditionnel fait entre le Zabour et le roi David ne résiste pas à une analyse sérieuse, c’est une hypothèse faite faute de meilleure explication et le Message révélé en 1974 et 1977 nous donne la bonne clé de compréhension.