Les porteurs de la Parole proposent ce site de partage aux femmes et hommes réfléchis qui ont une recherche spirituelle ou humaniste active et souhaitent répandre le Bien dans le monde concret dans lequel ils vivent.

Les porteurs de la Parole veillent à se libérer de toute forme de conditionnement politique, religieux ou idéologique. Ils ont choisi de nourrir leur réflexion des Messages qu’ils considèrent comme révélés ou inspirés par le Souffle du Créateur et de les distinguer soigneusement des innombrables religions et livres d’hommes qui les ont abusivement altérés ou interprétés.

Les porteurs de la Parole veillent aussi à concilier leurs idées avec leur comportement et leurs actes.

Ce site s’ouvre sur le blog d’Antoine. Il accueillera des commentaires publiés sans préjugés s’ils restent modérés à tous points de vue et centrés sur les thèmes du site : la Parole du Créateur, la Vie, l’âme, le changement du monde. Afin d’optimiser la continuité de la réflexion, il seront publiés en annexe du post dont le contenu est le plus lié au commentaire reçu (et non dans l’ordre où ils sont numérotés en page d’accueil).

Le bloggeur souhaite réfléchir avec vous sur la Parole transmise par les Messagers, pour en retrouver l’unité en la libérant du harnais des idéologues des religions. Il ne s’agit pas de débattre dans une joute intellectuelle ni de chercher à convaincre l’autre de ses idées. Ce blog n’est pas un forum et évitera les échanges impulsifs qui ne laissent pas le temps à chacun de bien écouter et de réfléchir.

Ce site accueillera avec joie les articles d’autres contributeurs partageant les mêmes valeurs et objectifs.

Les convictions des créateurs du site

Les créateurs du site intègrent comme Messages issus d’une Révélation (cette liste est non limitative) :

  • Le Veda, reçus par des rishis inconnus, transmis oralement au fil des siècles par les prêtres brahmanes qui ont encombré ces Messages inspirés de textes spéculatifs ou didactiques (comme les Upanishad ou les Purana) et ouvert la voie aux innombrables formes d’hindouisme. Le récit de la Création dans le Rig Veda se relie naturellement à celui de la Genèse dans la Bible
  • Les Gathas, le peu qui reste du Message initialement transmis par Zarathoustra puis déformé par les prêtres mithraïstes
  • Le Tao attribué à Lao Tseu (sans validation historique précise), dont le contenu initial semble provenir d’une Inspiration, avant que le taoïsme ne le noie dans diverses superstitions et fusionne parfois avec la version chinoise du bouddhisme
  • Le Dharma transmis par le Messager Bouddha qui en enseigna le sens et les conséquences pendant plusieurs décennies. Il s’est divisé en de nombreux « bouddhismes ». Ceux-ci ont souvent perdu la compréhension profonde de l’enseignement original de Bouddha recueilli dans ses sutras. En Occident, le Dharma est souvent réduit à une philosophie du bien être sans contenu spirituel
  • La Bible, transmise oralement dans une culture sémitique, puis mise tardivement par écrit dans des langues très différentes des langues indo-européennes avec lesquelles les occidentaux pensent et s’expriment. Elle intègre des Messages reçus d’Adam à Moïse, puis par les prophètes hébreux tardifs. Ce gros livre hétérogène a servi de fondement aux religions judéo-chrétiennes. Mais il a été altéré et noyé de livres d’hommes à tendance légiste rédigés au fil des siècles par les prêtres et leurs scribes.
  • L’Evangile révélé au Messager Jésus de Nazareth, condamné à mort par le pouvoir religieux, et dont la courte vie ne lui a pas permis contrairement à Bouddha de bien former ses disciples. Les écrits peu cohérents recueillis auprès des témoins de la première génération ont été filtrés et censurés par les églises « chrétiennes ». Elles ont ajouté au « nouveau testament » des écrits influencés par des théologies personnelles comme celle de Paul ou des spéculations mystiques comme ceux « selon Jean ». En 1974, Jésus est venu rectifier dans l’Evangile donné à Arès ce qui avait été mal transmis de son enseignement.
  • Le Coran, le Message reçu de l’ange Gabriel par le prophète Muhammad, mis par écrit rapidement après sa mort. L’arabe classique est une langue sémitique difficile d’accès pour les esprits occidentaux. Chaque racine arabe a de nombreux sens possibles que la tradition musulmane a parfois choisi et interprété arbitrairement.
  • Le Livre dicté en 1977 lors de 5 théophanies dans une langue compréhensible pour les francophones mais proche de l’hébreu par son absence de complications abstraites et grammaticales. Le témoin auditif unique de ces Messages, Michel Potay, en a d’abord publié des fragments, puis l’ensemble dans un livre qu’il a appelé  » La Révélation d’Arès « . Son produit éditorial inclut les Messages entendus en 1974 et 1977 dont il a changé certains mots. Il y a rajouté des parenthèses et de nombreux écrits de sa main, sous-titres et commentaires. Ces textes hétérogènes peuvent être consultés sur Internet .

Beaucoup d’autres Messages ont disparu totalement ou en grande partie ou sont inconnus des créateurs du site. D’après un hadith attribué à Muhammad, il y aurait eu avant lui 315 Messagers et 124 000 prophètes (?) et Jésus en 1974 révèle que Dieu a voulu parler par d’autres en grand nombre, mais ils se sont dérobés.

Certains textes fondateurs d’autres religions comme celles de nos frères bahaïs, jaïns, sikhs, ahmadis, mormons… ne sont pas retenus comme inspirés. Certaines incohérences peuvent y être relevées avec les Messages que nous avons retenu. Nous les classons dans les livres d’hommes respectés comme tel. Nous ne portons aucun jugement sur les intentions des fondateurs et de leurs disciples.

De même les innombrables écrits des compagnons, penseurs et théologiens postérieurs au Messager ne sont pas retenus comme Parole sacrée mais comme repère historique pour mieux comprendre nos frères croyants. Le monde chrétien se réfère à Paul, aux pères des églises ou aux pasteurs protestants; le monde musulman se réfère à des propos circonstanciels du Messager et prophète Muhammad, ses hadiths, et à la tradition orale des compagnons du prophète, en particulier Ali pour le monde chiite.

Enfin les textes philosophiques ou « inspirés » (comme les ouvrages ésotériques reçus « d’entités spirituelles » via une canalisation mentale humaine ou les écrits de guides spirituels auto-proclamés) peuvent être intéressants à étudier. Ils ne sont pas pour nous une référence sacrée. Nous ne portons aucun jugement sur les « inspirés » et leur sincérité, mais sincérité ne signifie pas lucidité.

L’effort de rechercher la Source et l’Unité dans des textes révélés et inspirés très étalés dans le temps et l’espace est un travail indispensable pour dépasser les préjugés idéologiques et éclairer nos chemins de Vie et d’action.

Tenter un syncrétisme de diverses doctrines religieuses n’aboutit nulle part et se limiter aux spéculations intellectuelles peut conduire à des débats stériles. Ainsi que le rappelle Jésus en 1974, « la Vérité, c’est que le monde doit changer »

L’éthique du site

Ce site n’est pas ouvert aux porteurs d’arrière-pensées de prosélytisme commercial ou idéologique. Chacun peut y exprimer ses idées personnelles en toute franchise mais sans débordement verbeux ou susceptible d’engendrer des polémiques stériles.

L’échange d’argumentations soigneusement élaborées et réfléchies contribue à notre progression spirituelle. Mais les débats ne peuvent être interminables et détourner de l’objectif pragmatique de contribuer à nous unir dans le Bien et à améliorer nos actions.

Les bénévoles créateurs du site ne se prétendent pas détenteurs d’une Vérité universelle. Ils ont des convictions et se placent résolument dans la logique de la pieuse gent évoquée par la Voix du Créateur en 1977 et de l’action à laquelle Il nous appelle.

Cette gent ne se réfère à aucun intermédiaire humain détenteur d’une autorité spirituelle ou légale. Elle se réfère à la Parole et à sa conscience et travaille en toute égalité de concertation et d’action entre frères humains. Elle connaît les catastrophes engendrées par les pouvoirs organisés et veille à tenir à l’écart tout embryon de pouvoir qui pourrait se constituer en son sein : pas de maîtres, pas de « docteurs de la loi », pas de membres influents verrouillant le dialogue, pas d’inspirés auto proclamés. La simplicité y est de rigueur.