1 Introduction

Les notes et réflexions du témoin, écrites pendant les événements de 1977, illustrent bien la réticence mentale de MP à cette Parole qui va s’accentuer tout au long des cinq théophanies.

Après la deuxième théophanie, MP note le 12 octobre : « En quarante mois, j’ai à peine réussi à rendre ma vie logique, à réaliser l’équilibre entre l’Evangile donné à Arès, déjà d’un grand poids, et mon léger cerveau de coucou. Je n’ai encore comblé qu’une part de ce qui nous séparait, lui et moi au moment où il se révéla. Vais-je devoir recommencer ?

Je pense aux prêtres, pasteurs, et autres clercs ou sectateurs, auxquels Dieu m’oppose. Derrière leurs lunettes de notaire, je revois leur regard si sûr d’avoir bien vu « leur » Dieu et « leur » vérité dans leurs dogmes. Moi, je vais à présent crispé et agité, n’étant plus sûr de rien, sinon que j’ai vu et entendu Jésus et Dieu et qu’il me faut tout revoir des « valeurs » et des projets de la foi et même de l’univers ».

Le 14 octobre, MP s’enfonce dans la forêt au volant de sa Land Rover et sent soudain une Présence. Tout s’assombrit derrière les vitres. Il fuit d’abord en vain en accélérant sans visibilité et finit par s’arrêter. « La Présence se développe, s’étend comme un cocon sur moi et le parfum consolateur déjà senti le 9 octobre m’entoure. C’est à lui que je reconnais Dieu. Je fonds en larmes, mais une force réconfortante me pénètre, m’apaise et me hausse en un instant à un point de bonheur indescriptible ».

Le 19 octobre, à la fin de la théophanie, Dieu ordonne à MP d’allonger son bras vers le bâton. Son bras prend feu et il est soudainement tiré vers le haut, entre le sol et la charpente. Trois mètres plus bas, il voit son squelette auquel pendent des débris charnels, resté assis sur son siège. En lui imposant la vision éprouvante de son propre cadavre, Dieu lui rappelle sa nature mortelle. Redescendu à sa place, il note ce verset.

Juste après cette troisième théophanie, MP nous dit : Le malaise de Dieu entre avec Sa Lumière, Sa souffrance, Sa difficulté à parler la langue de l’homme déchu. Ce matin, après un silence angoissant comme un souffle coupé qui cherche l’air, Il m’a dit : « Ma lèvre (est écrasée) sous ton pied lourd ! » Quel douloureux écrasement lui infligé-je ? Doit-il à ce point ramper sous un talon pour entrer en contact avec l’homme ?

Je sais bien que sa phrase a aussi le sens de « Tu peux trahir Ma Parole, la plier à tes projets d’homme ». Emise comme d’un Souffle contenu, exhalée plus qu’articulée, elle me fait un effet pénible. Car cet autre sens est un indicible aveu d’Amour crucifié. Je découvre à quel point Dieu est le Père, participe à notre vie. Mon malaise est de culpabilité face au Père qui participe à notre vie malgré notre petitesse physique et surtout d’esprit.

Lors de la quatrième théophanie du 9 novembre, MP nous dit dans ses notes « qu’il saisit plus facilement le message par l’intelligence ; Dieu le sait et parle plus vite, presque sans s’arrêter. Son insistance pour condamner tous les systèmes religieux et idéologiques me frappe comme elle ne l’a jamais fait car il s’en était protégé et Dieu me tire à découvert sans ménagement.

« Dieu parle, Sa voix gronde, j’apprends que je n’ai pas la ferme résolution de dénoncer l’église et de la déborder. L’insistance de Dieu est tellement forte que j’ai l’impression de n’avoir jamais lu, ni vraiment compris l’Evangile donné à Arès et même la Révélation reçue depuis le 2 octobre. Mon inconscient indulgente pour une église et son clergé ont émoussé dans mon esprit et dans mes propos les Paroles les plus tranchantes de Dieu contre la religion système. Je constate qu’elle soulève de plus en plus, insistance obsédante, Sa Colère contre moi. Il précise sa volonté d’en finir avec elle avant d’en finir avec le fond général d’impiété dans ce monde. (Quel contraste entre ses réflexions de 1977 et le discours récent de M. Potay qui prétend avoir tout compris sur le vif grâce à une sorte de voix intérieure, ce qui lui donnerait un charisme pour écrire au Nom de Dieu et même altérer Sa Parole!).

« L’insistance de Dieu n’a d’autre cause que ma faiblesse et mon irrésolution. Il faut arracher la religion de la société comme arracher les clergés à leurs erreurs. Je crie de douleur en écrivant ces lignes. Alors que Dieu vient de prononcer ces mots « sourds les fils unis », une douleur atroce envahit ma poitrine. Je ressens tant d’angoisse et de détresse devant ce que Dieu exige de moi, la conduite de l’assaut contre l’ordre religieux. Je sens très bien que plonge dans ma poitrine le regard perçant que cache le bâton de lumière ».

La Voix reprend « les bouvillons (le clergé), la glotte sèche » et MP s’écrie en suffoquant de souffrance : « Mais il y a François d’Assise ! ». La Voix répond avec la parabole du jars.

« Je souffre devant le bâton de lumière. Une force entre et siège, c’est elle qui se dilate en moi, elle compense la faiblesse de mon âme. Je défie presque le bâton de lumière et lui dit en silence : « Quel génie tu as de tendre sous peu de mots la révélation terrible pour ceux qui s’étaient fabriqués des idéaux si loin de l’extrême simplicité !»

Ce matin, je quitte la maison plus fatigué que les autres fois. Que fut le combat nocturne de Jacob et de Dieu ? Dieu écrase l’homme quand il a l’affront de rester un moment face à Lui avec d’autres pensées que Son Message. Je me précipite chez moi comme si Dieu m’y pourchassait. »

Les altérations relevées dans ces deux théophanies sont limitées, ce qui ne sera pas le cas de celles de la cinquième théophanie, où elles sont très nombreuses et particulièrement significatives. Elle sera présentée dans le prochain post. Ce sera la plus éprouvante pour le témoin et la plus révélatrice de son refus obstiné de soumettre son cerveau endoctriné à son système ecclésiastique aux injonctions de la Parole dont il doit pourtant subir la Puissance.

2 La Parole entendue le 19 octobre 1977

La grue à trois pattes dort chez Néro (l’empereur romain), l’ancre dans le Vent Fort.
La grue à trois banos (ailes) tombe.
La grue les trois becs cassent les pieds, Mikal, clope sur l’os, le Vent lève sa jambe.
Tes frères trottent sur l’os, le Vent lève tes frères.
Les frères, l’égala’h (moisson), l’attelle coupe la peau.
Ils vont ton talon, les frères mâchent Ma Rête (mors), dorment dans la foule de ton pied.
Les frères de Mikal tournent dans Mon Œil.
La canne dans* leur poignet, la Lumière de Mon Œil.
Le frère baise Ma Lèvre baise la lèvre de l’homme.
La lèvre sort le pus, le ver, la lèvre cache l’hameçon, le frère baise.
Le fumier sort le jardin. 41

Mon Œil ne voit pas Mon Pied. Ma Main à Ma Main Je cours.
Le vent use mille montagnes, Je ne reviens pas encore.
Je porte Mikal (le témoin subit une nouvelle expérience surnaturelle).
Le soleil plumes de pavo (paon). Je cours, Je fais mille soleils.
Ma Main passe, éteint les soleils. La boue coule les feux, les écailles.
Ma Main couvre le frère va conscit (conscient).
Pousse le soleil, les feux, la bras(sée) d’épines pousse l’âne. 42

La mort, la faim, l’homme, sa langue pend, son menton tremble.
La véprelle (chauve-souris), il tient Ma Lèvre, le frère boit l’Eau Grasse.
Elle ne sèche pas, vole haut la fosse.
Ton bras lace ta tête, le soupir de ton soulier mêle ton haleine.
Tu es l’arbre, la rave et la fleur.
Le zéleur plat dans la fosse, les nuits roulent.
Tu clopes, ta jambe passe le soleil.
Ta lèvre tire la croûte! Lave ta langue! Tu as Ma Parole.
Siffle la grue! Trois becs courent devant; trois pattes courent.
La tour, tombe, trois banos ne lèvent pas.
Vif paix Mikal (silence angoissant). 43

Ma Lèvre sous ton pied lourd.
Mon Talon est lourd.
La pierre n’est pas le fils de feu : la lave.
L’escape (édifice rationaliste), la mâchoire bat ton oreille ton œil.
La joie fend l’escape le coin; l’œil brille, brûle.
La rondelle bat, le Vent de ta lèvre épand.
Le mousse frappe. Quatre pas le mont fond.
Tu parles, tu ris, ta crache fort.
Ma Bouche donne le pain, la pluie.
Prépuce Mi’âl ton nom. Ta crache ne vient pas bas, elle est haut.
Ton frère voit la Lumière, il mange dans Ma Main.
L’homme ne voit pas dans ta gorge; il mange ta langue.
L’homme le cheval, mange là, son pied reste.
Le fruit n’est pas l’Arbre, toi le fruit. Pars, tu ne reviens pas. 44

Sois un dans toi!
Ta dent mord Ma Lèvre, elle tient. Ta dent mord ta lèvre, tu es deux.
Ton ventre creuse la peur, tu es dix. Sois un!
La tête sème les oreilles trois sourds.
La pierre crie dans Mon Oreille.
L’homme crie dans son oreille n’entend pas la pierre.
J’entends la pierre.
L’homme entre l’étoile sous son cil mange le bruit le caillot ;
coupe sa main, écrit son œil, rase son rire.
Le frère entre l’étoile dans Ma Main.
Il entend la pierre, il court sur son bras mille ans. 45

(Instruction spécifique donnée au témoin d’écrire à Sadate pour la paix)
Je porte ton œil : guerre, le poil épais!
Sarbal , Moussa (Sinaï) ferrent Yërouch’lim, les murs pleurent.
Appellent «Al!» L’œil voit l’œil dans Mon Eau : «Mauvais (pour) mauvais!»
Mon Talon passe, laisse cendre, envoie l’aile blanche (message de paix) :
« Le paro (pharaon) parle à Israël, entre le fer dans ta main!»
Tu envoies l’aile blanche au paro.
Oblate, défie encore, le Bras guide l’aurore lance le safre;
entre la narine, sale le sang, le nerf périt debout.
La paix monte contre le Saint tombe l’aurore jusque la décline.
Les dents noires ont les livres choppent.
Le Saint, Sa Paix plante ; la paix à l’écorce, les dents mangent.
Les dents noires vieux chiens rodent les boules. 46

L’homme compte, le cou plat, la langue lacée, tient sa part derrière l’œil, la bouche.
La Main se ferme sur le frère.*
Ma Part manque, ta main aussi.
Ton front rouge, ta main une noix.
B’hêr (source), b’hêr à l’homme noir, b’hêr à Moi, une eau, une* Eau.
Le b’hêr porte sa part. L’or pourrit, le feu éteint, soleil froid; le blé vide.
Sous l’homme le pied, le fils d’homme griffe.
La main prend le pied, le fils d’homme, sa main un voile.
Le ver rit, le ver gras dans la boue dure.
Bonheur l’homme griffe la boue, mange le ver.
Tu casses les jambes des maîtres, tu éteins les soleils fondent le fer le flate blanc.
Ta part Ma Part. Tu embrasses la jambe de sang,
La jambe danse sur le feu, tu casses. 47

L’œuf dans la femme une* peau sèche.
La femme, sa cuisse ne boit pas l’eau (aux) filaires, boit plus* le vin secoue le ventre.
L’enfant ne dort pas sur le sein; l’homme dort là.
L’air la pluie, l’homme noir tombe.
L’homme compte, la poule a un* œil de chat.
L’homme noir, le bras pend.
L’homme du sentier, l’homme du riz, du tubra monte.
Il remplit la femme claire (silence)
Ton frère ! (ici la voix est forte)
La femme coupe, coupe la tête, ouvre sa cuisse sur le fort.
Devant la porte l’enfant, beaucoup, l’enfant crie.
L’homme noir part avec la pluie, avec l’air.
Épais le cheveu de femme, sa main s’ouvre sur le frère, sa dent mord la braise fait le fil.
La femme a la paix. Entre les dents coule la Parole.
Le soleil descend (de) son sein, sa gorge. L’homme* ferme l’œil. 48

La femme, la main du Bon dans sa main.
Yëchou tremble, la femme tremble ;Yëchou pleure, la femme pleure.
Tu flottes sur le Vent l’oiseau large, comme Yëchou, Muhammad,
tes os éclatent, le Vent presse loin.
Je suis la Force, la Force est dans le frère dans l’homme mauvais.
La Force dans Yëchou, Muhammad, dans le noir, l’épine,
dans l’oreille du frère, la corne.
Abraham, son frère le lézard, son ventre marche.
Moché voit, mange dans Ma Main le chat, le chat le lézard sous son ventre.
Yëchou, son frère le bélier, le chat sous son ventre.
Le frère de Muhammad le cheval, le bélier sous son ventre.
Mikal voit, mange dans Ma Main; son frère large haut l’aigle. 49

Le noir tourne pour la Lumière, il sème le sel clair.
Ton front est plat, trois côtés a ton oreille.
Tu frappes ton poumon, bois creux.
Tu as la Lumière : frappe ton poumon, le Vent sort!
Ouvre ta veine, le sang sort, il vole, le nuage. Frappe ton front.
Etalée la Mer, ta lèvre court partout. 50

L’homme fort a quatre côtés de fer, il rouille sous Ma Larme.
Le singe, deux mains mangent. L’homme, une main mange, une main donne.
Mes Mains donnent !
L’homme fort dit: « La pierre, le Vent vient, le Vent ne porte pas la pierre.»
Le Vent porte l’oiseau de ta gorge.
L’homme fort, son œil moud* le cancer sort son os, le noir goûte.
Je donne la Parole à Mikal, garde!
Fort dans le Vrai, tu hérites le Jardin. 51

(Ici, JE SUIS fait vivre une douloureuse expérience surnaturelle où son corps se déchire)
Je brûle le Jardin de Moché.
Tu tires la barbe devant l’œil, Je coule un torrent de glace sous ta robe.
Ton œil devant l’étoile, long ton bras!
Ton bras brûle la laine, Je tire. Vois, tes os restent bas.
Garde la Parole; lie ton poignet!
Parle aux frères, les frères parlent.
Sois assis dans Ma Maison, va sur la route!
Dors, le frère vigile, l’œil ouvre, tu es vigile de frère.
L’homme baise la foule de ton talon. 52

3 La Parole entendue le 9 novembre 1977

Vaincu, le roi blanc sort, la main devant.
La main écarte le pied comme des figues, la jambe pend.
Coupé le cou, le fouet coupe le cou.
Le roi blanc parle « le vent a l’oreille ». Le vent par les côtes.
Les étoiles tombent ? Vapeur goutte ! Il met* le gant de Moïse.
Le roi blanc parle, le pendu pas l’oreille.
Le pied, la cuisse tombent: lumière dans la terre! 53

Le roi noir laboure peau, terre. Il crie au roi blanc: «Tire !»
Fumier le fils du roi blanc.
Le roi blanc, son ventre bois vert.
Il mange, il rote, un bourgeon.
Mikal, coupe le bourgeon !
Le roi blanc marche, passe l’eau, sa parole comme un bourdon.
Il prend le suc de mort, il tire le pied avant, après, le pied tombe.
Il crie : «Mon fils vole, mon fils vole, sa lèvre baise les soleils.»
L’oiseau a des* cornes porte la lèvre au nid.
Le roi blanc, son fils pend un sac. 54

Je parle à Mikal, pas le sac.
La cuisse d’homme, l’étoile n’est pas sa chaise.
Vide sa cuisse. L’homme debout, pendu.
Le roi blanc dit : «Je lève. Le sel des étoiles prend tes cheveux.»
Le roi blanc lève le pendu.
Je ne lève pas. Mon Bras au bout du bras d’homme.
Ma Main, sa main tiennent la houe.
L’homme a mille ans, il mord encore.
Il répand son sang, sous sa peau Ma Salive.
Le queux blanc sert la sueur le cheval blanc éplié. 55

Le reste (de)vient Mikal*, son bras monte haut le piège.
Je ne lace pas le bras (qui respecte) le pacte.
Je mène Haut, la Mer dissout l’or. Mange le pain tendre !
Le marmot de Mikal : «Le-Dos-porte-la-Mer presse mon œil,
taille le lard, sa Langue dure le pied.»
«Le-Dos-Porte-la-Mer est Haut, Je n’ai pas deux goûts,
le nerf de poisson dans ma bouche, la fouace reste.
Il dépèce, envoie ma main, ma jambe loin.
Il prend ma femme pour Son Travail, fend la porte ma maison.» 56

Bats le genou, il plie!
Couche sur le crâne, il frappe Mon Feu. Je lance Ma Main.
Le frère a le Feu, le bouillon dans son cœur, le tison dans sa moelle.
Le frère monte sa chambre monte (après) Ma Hanche.
Je parle, tu parles pour les jours, les jours.
L’homme à l’œil crevé prend la force.
Il abat le déviateur, riban, coupre (convoite) Mon Feu ce matin.
Mikal est béni Youou (évoque YHWH). 57

La croix du Bon, le sang roule sur la croix.
Le bras pas la patte du chien dans le piège.
La terre prend le sang du Bon, lumière de terre, peau de pendu.
Le poids lève sa griffe, le Bon monte,
la cave ventre vide, ventre a toujours faim.
Le matin, le soir, la mort gave la terre.
Yëchou crie son nom sur le roi blanc mange son pain, la tête dans sa robe.
vend les mains les pieds, tient la tempe (outil de boucher).
Tu laves le sang, l’eau va dans le jardin gras, tu presses la tour.
Je souffle, cuis. 58

Tu vois Mon Doigt, va ! La croûte de ton pied.
Mon Œil, les soleils tournent.
Ta parole Ma Parole. Justice de juste.
Ton ventre n’ouvre pas, ton œil court autour. Dors, il court autour.
Ton nez gerce ? Le roi blanc, le roi noir fument.
Aguéla (ange) bat ta main, elle tient la vipère,
tu bois la liqueur fume, ta main la piche.
La tempête couche sur ton pied un chat : «Debout!», elle meule.
Mon Pacte n’est pas déçu : Un ! Tire Mon Bras !
J’ouvre ton œil l’aurore, ton col le saule, ta gorge coule la Parole, tu peux.
Une dent casse, Je donne double, Mikal clame deux dents.
Suis l’Eau! Ta jambe a quatre âges.
Le Saint ne pousse pas le siffleur chante avec toi. 59

Le roi blanc, son fils, son corps coule dans l’eau noire.
La mouche court sur l’œil du pendu, sa lèvre cuir pâle.
La mort serre le nez de fils unis.
Garde! Le roi blanc avale l’Air, jette l’Air hors toi.
L’œil chasse la mouche! Trempe la main, la jambe!
Couds le voile, couds le voile!
Le bruit d’homme: yhoudi, mousselmi (musulman), christane (chrétien).
Bruit, la chair lourde, la chair a le sang! Vide le sang.
Les caillots tombent les pierres du ciel: afar (poussière), il pleut*.
Le Vent couche Ma Salive!*
Je tombe les Ciels à ta face. 60

Après le mur, les crudes couchent les femmes, le râble tire l’argent,
mangent la crème de la terre.
Couvrent Ma Main la blatte, cachent, attellent les chiens.
J’entre un fouet dans ta bouche, Ma Main à ton sein un mur.
Le fer dans ton sein dans Ma Main. Mikal monte la patience.
Je serre l’artère, les ennemis vont morts, l’heure et l’heure.
La gorge sur ton bougon passe l’épaule.
La gorge mâche ta langue lace la tille.
Il pue ce matin, il prend ton genou, pleure.
Je prête Ma Voix.
La langue entre dans la gorge mange avec la bête.
La montagne sur ta barbe dort avant ta porte, tu vas entre les poupes.
Il lit la sèbe, le nuage, la faim ment son ventre, bannis ! 61

Ton œil va dans la Lumière, Ma Main tire ta langue le rollet.
Le frère lit le vrai. Le frère, envoie dire ! Le Bien tourne dans le frère.
Tu écris, le Vent ride la Mer, tu écris.
Le frère parle, rend la pustule de sa bouche, la fièvre sort, le cœur entre.
Mikal le père, le frère monte les fins de la plèbe, ne bute pas.
Le frère boit le vin de ta bouche, mange le pain face toi, coule l’huile sur ta tête.
Le fou assoit ses cheveux, couronne son pied.
Le roi blanc oint le quêteur, entend le rien.
Le citron à ta dent tu lèches, ne lèche pas!
Le fou dans toi, plante la fourche!
La paille le lit de coucou. 62

Mikal, annonce le Vrai !
Ma Main grisse sous l’écorce dans le coude, l’homme n’entend pas ;
pèse le soleil, tise. Ma Lèvre coule les fonts.
Ruine le maître ne donne pas l’obole du Vrai!
Le clone ne sait pas la mère.
Mon Œil, sa Force tire du Fond des Fonds.
Le relais de soleil ne trouve pas le Fond.
Ton œil cherche le Fond, pas le Fond,
Tu vois l’ongle, pas la jambe.
Tu prends ta cervelle, tu manges. Ton œil mange ta cervelle.
Ton œil allonge* le nerf, tu ne vois pas le Fond.
Mon Œil, les soleils éteints avant le bruit : «Il n’a pas le Fond?»
Mon Œil voit l’ongle, l’ongle tombe.
Mikal ne cherche pas le Fond. Ouvre tes veines! Dis-Moi : «Entre!» 63

Ils disent: «Menteur!» Digne, lève ton dos!
La musette ne paie pas le salaire du cheval.
Le cheval de Muhammad ne revêt pas le cuir.
L’homme noir n’a pas la paupière.
L’homme noir lèche l’étal, son cil balaie.
Il guérit le bubon, il monte sur le nuage.
Debout un matin après le matin de mort.
La mort couche dans l’homme. La mort lève avant, après.
Le sénat de mort, le sénat descend.
Le sénat prend la queue de vache mugit.
Le frère de Mikal, le sénat n’a pas sa main. 64

Tu es le maître des hérauts*, tu appelles. Les hérauts quittent la fête de morts, la fête de hères de hères.
La fête chante téfilotes (cantiques) : larmes froides.
Frère de l’aube, ton frère assis, son front léger.
La vigne bleue monte sa tête.
Le Jus, le peuple donne sa langue.
Les hérauts attendent.
Ton bras lève gauche.
Les hérauts lèvent, la mort descend sous les îles.
Ils ne dorment pas. Tu veilles, ils dorment.
L’homme noir sait sa cache.
Les frères de Mikal fendent le dos, le dos cache l’or,
l’eau fume et parle, le fer tors.
La lune goûte le nuage; sourds les fils unis. (silence) 65

Je suis la Mine, l’Eau.
Froid, J’appelle le feu, la sueur Je flère.
Adame va, l’onde de la main à Ma Main.
Sur son chaume bouillon(ne) la moelle.
Plante la jambe encore, la flamme vêt la peau.
Ma Main, J’entre dans la faille, ne ferme pas.
Ton épaule va.
Le roi blanc, lace la te(s)te!
Les bouvillons, la glotte, sec ! 66

(ici, le témoin défend la religion en citant François d’Assise…)
Le jars fort, beau dans la cage. Qui voit la cage ?
L’œil du roi blanc lace le jars; le roi blanc sait le jars n’a pas l’œuf.
J’entre le fouet dans ton poing. Lave ta tête, lève ton bras!
Annonce! Récuse, Je récuse!
L’ennemi, l’horreur choit. 67

Mikal Je donne le pied de fer va sur le papier, les frères portent Ma Trace.
Mon Doigt ouvre le Livre. Ma Fortune ton bât.
Ton lit de carde, tu couches dans Ma Main.
Tu sues la tournette, le Vent vire.
L’ ange avec toi cata.
Tu tiens le Livre fort. Tu parles, le Livre parle.
L’uni, l’œil ouvre, l’œil ferme, le mêlé, la lèvre jaune, la lèvre noire, la pluie, la grêle.
Devant revers, fils de père, de ventre, fils de Mon Bras, de Ma Parole.
Debout ta jambe, entends parle!
Tu fends le front le mur, Mon Honneur ! 68

Le mauvais rit: «Fumée, l’agile!»
Mange ton pain, tu as ton pain.
Le grand roi fume le kafor (camphre) (et) l’huile, Mikal reste sous la Narine.
Droit ton pas dans Ma Sandale.
Missi, fer, le roi pend la couronne.
Forts la main, la roue.
Le phare* suit les soleils?
Le soleil brûle le phare* donne deux mains.
Ta pante coûte le musée. 69

4 Quelques réflexions du bloggeur

La troisième théophanie, la plus courte, a été divisée en 12 séquences, la quatrième en fait 17.

Pour les commentaires explicatifs donnés par le témoin, le lecteur pourra se reporter ici au texte en ligne de la Révélation d’Arès.

MP ne décrit pas l’expérience surnaturelle qu’il évoque dans la séquence 42. Il faut cependant noter qu’il a écrit dans son bulletin paroissial de 1989 un article très intéressant intitulé « Pommeraie » où il relate une expérience de transport à rebours du temps où Dieu lui montre ce qui se passait en Eden avant la chute. Aucun des proches de MP auquel j’ai posé la question n’a pu me dire quand il a vécu cette expérience. On peut supposer que c’est à ce moment ?

La séquence la plus poignante est pour moi la 44 et je peine à comprendre comment le témoin a pu oublier que son pied lourd, ses gloses de théologiens, écrasent la Lèvre qui nous donne la Parole. Pourtant, la souffrance exprimée par la Voix de Dieu, il en avait eu conscience dès la première théophanie, quand Il lui dit, « Je serre comme le clou ».

C’est là qu’Il donne à MP son nom, prépuce Mi’al qui aurait du aussi le faire réfléchir, dans la tradition juive se référant à Abraham, un prépuce doit être circoncis pour permettre la fertilité, et que doit-il circoncire, sinon ses idées et son cerveau de coucou ?

La séquence 46 est un marqueur historique de ces théophanies, car le pieux Sadate a écouté l’avertissement et est allé contre toute attente signer une paix avec Israel qui d’est avérée durable.

L’hommage à la femme claire de la séquence 48 est émouvant et prometteur pour le renouveau de l’humanité. Elle nous fait comprendre que l’avenir passera par des métissages avec les asiatiques et les africains (hommes du riz et du tubra) qui doivent devenir nos frères, à rebours de la montée de la xénophobie qui caractérise la France âgée et que, heureusement, l’attitude de nos jeunes dément.

La séquence 49 confire que la continuité prophétique est ascendante, avec ces métaphores très parlantes qui caractérisent les théophanies.

Lors de la séquence 52, c’est un nouvel avertissement bouleversant que Dieu lance à MP en lui montrant ses os et sa chair en décomposition pour qu’il garde la Parole, qu’il la lie à son poignet comme le font nos frères juifs pour ne jamais oublier qu’il faut l’accomplir dans l’action.

Son dernier verset illustre le contraste entre l’homme qui baise la foule de ton talon, qui vénère l’homme Michel au lieu d’être le frère qui accomplit la Parole. Ses fidèles devraient s’en souvenir !

La 53 tombe comme sur MP comme un coup: Vaincu ! L’écroulement du roi blanc est inéluctable.

La séquence 54 rappelle à MP que sa tâche essentielle, à laquelle il répugne, est de couper ce qui bourgeonne du roi blanc en récusant les doctrines religieuses.

La 56 confirme que Mikal est un nom collectif constitué des frères qui se purifient avec l’Eau de la Parole.

Il faut noter dans la 57 les invraisemblables altérations apportée par MP par ses parenthèses, bats le genou et couche-toi sur le crâne, qui l’appelle à la prière personnelle, est transformé en bats le(ur) genou, (qu’)il plie! Couche(-toi) sur le(ur) crâne, pour que ses fidèles se soumettent à lui. Comment pouvait-il qualifier ce détournement de sens de simple clarification ? Il s’est probablement auto-endoctriné au point de perdre toute lucidité de son vivant.

Un changement de ponctuation rend plus clair la fin de la séquence 60. Elle qualifie de bruit d’homme la religion chrétienne, mais MP tiendra à qualifier ses fidèles Pèlerins d’Arès de « chrétiens » et de justifier longuement dans son blog cette appellation. L’opinion publique les voit comme un petit groupe religieux, et plus souvent comme une secte en raison de l’emprise de MP.

La 62 rappelle à MP qu’il continue à lécher le citron de la religion et la 63 qu’il ne voit pas le Fond.

La 65 évoque un frère de l’aube et une vigne bleue qui monte dans sa tête et dont il doit transmettre le Jus au peuple. Bleu fait le lien avec ce frère déjà évoqué dans la première théophanie. MP n’a cessé dé s’inquiéter de son arrivée qui risquait de déstabiliser son emprise sur ses fidèles.

La 66, avec la belle image de l’onde qui va de la main à La Main de Dieu, évoque la possibilité de vaincre la mort pour retrouver le statut d’Adame avant la chute.

Dans la 67, MP ose parler pour s’opposer à ce que Dieu lui dit. Il y a bien un dialogue possible entre Dieu et l’homme, ce que la Bible évoque à plusieurs reprises, par exemple quand Abraham négocie pour sauver Sodome de la destruction annoncée. Mais ici, c’est plutôt une confrontation qu’une supplique.

Le phare dans la 69 peut être relié au frère de l’aube qui apportera une lumière pour guider le peuple, alors que ce qui sort de la pante, de la digestion mentale de MP, sera bon pour le musée.

5 Qui est Michel Potay, renommé par Dieu « Prépuce Mi’al » ?

Dans l’introduction figurent quelques réflexions du témoin qui illustrent son refus réitéré de sa mission de récuser les églises constituées. Je tiens à nouveau à rendre hommage à son épouse Christiane Potay, beaucoup plus lucide que lui. Elle a insisté pour que MP ne détruise pas ses notes sur le vif et lui a demandé de consigner méticuleusement tout ce qui lui passait par la tête lors de ces théophanies. C’est grâce à ce témoignage que ses fidèles pourront constater à quel point les postures de MP sont ambiguës, entre celle de l’homme choisi par Dieu comme interprète de la Parole et celle de l’opposant permanent à cette Parole dont il refuse les conséquences.

Que savons-nous donc de « Prépuce Mi’al » que Jésus en 1974 appellait « homme Michel » ? Sa vie publique de messager a duré un demi-siècle, des bibliographies ont été publiés, lui-même et ses fidèles se sont assurés qu’elle étaient conformes aux faits réels. Jésus lui dit : « Tu n’évoqueras pas ta vie passée, il n’y a rien là dont tu puisses être fier », mais cela n’empêchera pas MP d’écrire plusieurs articles sur sa vie passée dans son bulletin paroissial. Il parlait aussi en privé à ses fidèles qui s’attroupaient autour de lui après la prière du pèlerinage et l’écoutaient religieusement parler de lui et de sa vie passée.

Michel Potay est né à Suresnes en 1929, son père, ingénieur sympathisant du communisme, meurt jeune et il est élevé par sa mère infirmière, plus conformiste, dans l’esprit du travail et du devoir. Il ira à l’armée à 18 ans pour financer ses études, une formation d’ingénieur qui en fera un officier de marine. Il participera sans réticence à la guerre coloniale en Indochine. Il entre dans l’industrie et devient directeur d’une usine de fabrication d’échangeurs destinés en particulier au nucléaire, un poste très technique.

Insatisfait de cette vie matérielle confortable et en quête spirituelle, il quitte son poste et s’intéresse à l’occultisme, puis aux thérapies non conventionnelles, magnétisme et acupuncture, il ouvre un cabinet de soins à Bourges. Il se convertit à l’église orthodoxe, fait des études de théologie et est ordonné diacre en 1969. Il se marie en 1968 avec un de ses ex-patientes, de 18 ans sa cadette, qui lui donnera trois filles. La Parole de 1974 dit : « Je t’ai donné une épouse et J’ai béni vos épousailles, elle est éprise de toi pour t’être un réconfort ». Elle accomplira cette mission avec un dévouement exemplaire malgré les épreuves de la vie.

Jésus lui dit : « Le péché, tu M’en rendras compte, mais de te dérober à Mon Appel aujourd’hui tu t’anéantiras. Car l’âme peut être souffrante: Je la guéris, mais elle peut aussi trouver sa fin sans retour ». Il ajoute :  » Je t’ai fait passer par les palais des princes du culte, leur trône, leurs cours, leurs sanctuaires, pour que tu connaisses toutes leurs ruses, leur hypocrisie, leur art de parler, leur art plus grand encore de se taire. Tu connais les mensonges, les venins subtils de leurs silences ». Il précise « Du Haut de Mon Séjour Je t’ai appelé, homme Michel, homme de Mon Dessein ».

MP avait été ordonné le même jour prêtre et évêque dans une branche marginale de l’église orthodoxe. Il s’était bien inséré dans des organisations traditionnelles hiérarchisées comme l’armée, l’industrie et l’église dont il avait gravi les échelons, à l’évidence c’est un homme d’ambitions mondaines. Sa construction sociale est bouleversée en 1974 par les apparitions de Jésus. Subjugué par la majesté du Ressuscité, MP l’écouta sans broncher. Son regard perçant devinait ses pensées les plus obscures. MP était très attaché à son église, à ses cultes et ses chants envoutants, et surtout à sa dignité de Monseigneur, son sceptre et sa couronne. Ce qui explique l’insistance de Jésus qui lui a imposé d’abandonner ces prérogatives indues.

En juillet 1977, Jésus se manifeste de nouveau, MP le voit à travers la fenêtre, il le désigne du doigt « comme on désigne un traître » et sa voix lui entre dans le cœur pour lui révéler les douze Piliers de la Pénitence. Il enregistrera sur le moment son témoignage, n’en publiera que trois. Il suspend leur publication : « Je n’aurais pas dû les publier, parce que ces conseils s’adressaient à moi, n’étaient pas une révélation sublime et universelle comme La Révélation d’Arès ». Ceci contredit ce que lui a dit l’Inspirateur : « Tu vas montrer aux architectes des assemblées nouvelles de Dieu comment construire les piliers de la pénitence ». Dans le cadre de sa stratégie personnelle de prise de contrôle de la Parole, MP n’a pas hésité à écarter ce texte pour donner sa propre version de la pénitence qu’il a défini autrement, il a écrit un très long article centré sur ce sujet. Comme le prouve sa Résurrection, Jésus, pénitent accompli, est bien la référence absolue pour enseigner ce sujet, mais MP tenait à prendre sa place. Les posts 22 à 24 contiennent les textes des six premiers piliers, les autres auraient disparu dans les archives de MP ?

MP et la plupart de ses fidèles pensent que le choix fait par Dieu d’en faire un messager lui donnerait une crédibilité particulière, celle qu’ils attribuent aux grands prophètes d’autrefois comme Moïse, Jésus ou Muhammad. Or il y a beaucoup d’autres hypothèses, par exemple que Dieu anticipait le risque que Prépuce Mi’al se mette en avant comme intermédiaire et reconstitue une nouvelle religion, ce qu’il avait commencé à faire après 1974 en célébrant des messes à peine modifiées où il ajoutait sa parole à la Parole comme le font les clergés.

Après 1977, Prépuce Mi’al fit tout pour garder une prééminence dans le petit groupe qu’il constitua avec ses fidèles, ses bulletins puis son blog lui servant de medias d’endoctrinement. Son blog a été étudié dans l’étude publiée sur ce site. Certaines citations sont atterrantes : « Moi, je ne suis qu’un traducteur de la Pensée du Père, inaccessible à l’humain pétant d’orgueil dans notre charabia barbare et à l’usage de nos petits cerveaux. La Révélation d’Arès entre dans une zone de lectures où nos frères humains trop sagaces et éclairés pour se laisser berner ne peuvent rien voir de vrai ».

Plus révélateur encore : « le prophète incarne tout à la fois la Parole, la Volonté et la Conduite Divines…il est le lieu de la Présence de Dieu ». Prépuce Mi’al semble oublier que Dieu est étalé. Où est son humilité ? Il flatte sans réserve ses fidèles : « le petit reste ne formera jamais une religion s’éloignant de La Révélation d’Arès et de l’enseignement de son prophète (pour lui indissociables), le noyau de purs (un mot très religieux) vers lequel on viendra se ressourcer ». Et « Nous Pèlerins d’Arès sommes passés à un autre stade de la foi. Mes frères mordent à ma pensée et s’y accrochent et je sens qu’ils ont quelque fierté à échapper enfin au magma intellectuel où les siècles les ont embourbés ».

Il ajoute : « Nous sommes une assemblée providentielle. Nous pouvons sauver le monde avec nos frères et sœurs de partout. Alleluia ! ». Le post 59, sur la base des chiffres de Prépuce Mi’al, montre la régression de ce mouvement depuis 1989. Ceux qui sont restés sont endoctrinés depuis des décennies, peu auront le courage de remettre en cause leurs idées et donc leur place dans cette petite communauté.

En constatant cette évolution regrettable, les croyants lucides des générations qui viennent diront : « Plus jamais cela, plus jamais de prince du culte vivant ou mort, chaque croyant est libre dans sa relation à la Parole pure, sans glose. C’est une prérogative que Dieu ne retirera jamais aux humains ». Et les hiérarchies religieuses qui voudraient nous convaincre de leurs interprétations s’effondreront enfin. Ce sera long !

Je peux évidemment me tromper, il appartiendra aux lecteurs de se faire un opinion réfléchie.